claude nougaro - Odette
[00:00.00]时代音乐网 www.78497.com [00:11.54]Par les lourds cheveux noirs crépitant de violettes [00:18.57]Entre ses doigts ardents il recueillait ta tête [00:25.29]Attirant vers ses yeux [00:27.09]Ton regard inondant [00:34.78]Toujours luisaient en lui ce front ce [00:37.83]Grain ces lèvres [00:41.63]Doucement ciselés par une chair orfèvre [00:48.81]Où rayonnait soudain le diadème des dents il croyait ce [00:56.23]Bébé bientôt quadragénaire [01:01.39]Qu'un mot d'ordre des nuits une loi planétaire [01:07.32]Avaient croisé vos vies comme on tresse l'osier [01:11.41]Et brûlant dans tes bras adorables brasiers [01:17.38]Il baisait le cœur du mystère [01:28.16]À minuit dans un bar oasis de ses dunes [01:34.72]Il avait ressenti comme un rayon de lune [01:40.65]Se poser sur son front tatoué de tourments [01:48.72]Cherchant d'où lui venait la curieuse caresse [01:54.87]Derrière le piano où jouait aron bridgers [02:01.00]Il avait vu la femme au visage éléphant [02:07.01]Au whisky il n'est rien qui soit inconcevable d'un geste [02:13.31]Encore sûr s'asseyant à sa table il demanda abrupt est [02:20.89]Ce que je suis beau [02:22.69]La beauté la laideur formaient ses grands bobos [02:27.45]Et le temps renversa son sable [02:37.34]Issue d'un orient aux clartés fabuleuses dans nos quartiers latins [02:45.23]Tu te sentais frileuse parfois l'homme possède une bonne chaleur [02:56.61]Dans sa chambre ce fut ta première venue et la [03:03.47]Glace éclairée admira l'inconnue [03:09.24]Et les draps de son lit hissèrent tes couleurs il [03:18.17]Y eut d'autres nuits et d'autres jours qui passent [03:24.81]Les ages discordants l'étrangeté des races ne t'empêchèrent pas étudiante d'aimer [03:36.20]Ce petit homme noir par ta voix désarmé [03:42.08]Et trouvant sous ta main sa place [03:53.71]Avec son air verni arriva le mariage car il faut [04:00.85]Qu'un matin les amants s'engrillagent [04:06.83]Dans un duo certain de s'enlacer au temps [04:15.15]Une tête assoiffée remplaça l'autre tête [04:21.33]Plus lourde qu'allégée par un travail poète [04:27.89]Et la porte eut le bruit qu'il faisait en sortant [04:34.01]Ton sommeil eut l'odeur de ses fuites nocturnes [04:40.19]Où pâlissait déjà le beau rayon de lune [04:46.38]Ton visage étoilé se ternit peu à peu [04:50.47]Puis il reflamboya déployant ses cheveux habité d'une autre fortune [05:04.64]L'homme crie longuement quand jalousie le tord [05:14.37]Il sanglote il hurle que l'univers a tort [05:21.54]Il s'arrache le cœur son cœur criblé de dettes [05:29.98]Il t'aimait [05:36.22]Il t'aimait [05:44.34]Odette
OdetteLRC滚动歌词
[00:00.00]时代音乐网 www.78497.com[00:11.54]Par les lourds cheveux noirs crépitant de violettes
[00:18.57]Entre ses doigts ardents il recueillait ta tête
[00:25.29]Attirant vers ses yeux
[00:27.09]Ton regard inondant
[00:34.78]Toujours luisaient en lui ce front ce
[00:37.83]Grain ces lèvres
[00:41.63]Doucement ciselés par une chair orfèvre
[00:48.81]Où rayonnait soudain le diadème des dents il croyait ce
[00:56.23]Bébé bientôt quadragénaire
[01:01.39]Qu'un mot d'ordre des nuits une loi planétaire
[01:07.32]Avaient croisé vos vies comme on tresse l'osier
[01:11.41]Et brûlant dans tes bras adorables brasiers
[01:17.38]Il baisait le cœur du mystère
[01:28.16]À minuit dans un bar oasis de ses dunes
[01:34.72]Il avait ressenti comme un rayon de lune
[01:40.65]Se poser sur son front tatoué de tourments
[01:48.72]Cherchant d'où lui venait la curieuse caresse
[01:54.87]Derrière le piano où jouait aron bridgers
[02:01.00]Il avait vu la femme au visage éléphant
[02:07.01]Au whisky il n'est rien qui soit inconcevable d'un geste
[02:13.31]Encore sûr s'asseyant à sa table il demanda abrupt est
[02:20.89]Ce que je suis beau
[02:22.69]La beauté la laideur formaient ses grands bobos
[02:27.45]Et le temps renversa son sable
[02:37.34]Issue d'un orient aux clartés fabuleuses dans nos quartiers latins
[02:45.23]Tu te sentais frileuse parfois l'homme possède une bonne chaleur
[02:56.61]Dans sa chambre ce fut ta première venue et la
[03:03.47]Glace éclairée admira l'inconnue
[03:09.24]Et les draps de son lit hissèrent tes couleurs il
[03:18.17]Y eut d'autres nuits et d'autres jours qui passent
[03:24.81]Les ages discordants l'étrangeté des races ne t'empêchèrent pas étudiante d'aimer
[03:36.20]Ce petit homme noir par ta voix désarmé
[03:42.08]Et trouvant sous ta main sa place
[03:53.71]Avec son air verni arriva le mariage car il faut
[04:00.85]Qu'un matin les amants s'engrillagent
[04:06.83]Dans un duo certain de s'enlacer au temps
[04:15.15]Une tête assoiffée remplaça l'autre tête
[04:21.33]Plus lourde qu'allégée par un travail poète
[04:27.89]Et la porte eut le bruit qu'il faisait en sortant
[04:34.01]Ton sommeil eut l'odeur de ses fuites nocturnes
[04:40.19]Où pâlissait déjà le beau rayon de lune
[04:46.38]Ton visage étoilé se ternit peu à peu
[04:50.47]Puis il reflamboya déployant ses cheveux habité d'une autre fortune
[05:04.64]L'homme crie longuement quand jalousie le tord
[05:14.37]Il sanglote il hurle que l'univers a tort
[05:21.54]Il s'arrache le cœur son cœur criblé de dettes
[05:29.98]Il t'aimait
[05:36.22]Il t'aimait
[05:44.34]Odette